Au cours de sa vie courte mais dynamique, Rafael Santi a créé de nombreux chefs-d'œuvre, qui ne sont toujours pas égaux. Il était un adepte des artistes Pérugin, Léonard de Vinci, Michel-Ange, mais à la fin il a atteint la perfection et une manière réaliste inimitable dans la peinture. Nous connaissons la grande variété des peintures de Raphaël, mais nous essaierons de choisir parmi elles les œuvres les plus célèbres et les plus belles.
Les 20 œuvres les plus étonnantes de Raphael Santi:
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Donna Velata (1516)
Rafael était au sommet de son œuvre lorsqu'il a peint un portrait de «Donna Velata» ou «Lady with a Veil». Il n'avait que 32 ans.
Margarita Luti, une fille ordinaire, la fille d'un boulanger est représentée par l'artiste avec appréhension et amour, car elle était son sens de la vie. Rafael était tellement amoureux de la fille qu'il a offert à son père une énorme rançon en espèces - plus de 3000 ducats. Fornarina, ainsi appelée sa femme Raphaël, qui signifie «chignon». Le couple était content. Et après 6 ans, Raphael est décédé subitement. Margarita n'a pas accepté l'énorme héritage de son mari et est allée au monastère, où il était réputé être sa veuve jusqu'à la fin de ses jours.
Margarita dans le portrait est représentée dans des vêtements aux délicats tons beiges et roses, sa tête, comme celle d'une femme mariée sous un voile. Santi, amoureux, a transmis la beauté et le caractère calme de sa femme dans une pose raffinée et élégante. Le visage de Margarita est aussi tendre qu’une pêche, ses yeux sont magnifiques, immenses et sont bénis de bonheur. Un beau cou et une coiffure sont décorés de bijoux. Margarita est représentée dans le portrait comme un bijou exquis, et l'admiration du maître pour son modèle est transmise au spectateur.
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2
La Transfiguration (1516-1520)
Rafael a commencé à écrire «Transfiguration» pour l'autel de la cathédrale de Narbonne, à la demande du cardinal Giulio Medici, mais ne l'a pas terminé, car il est décédé subitement d'une maladie inconnue. La peinture a été réalisée par l'artiste Giulio Romano.
L'intrigue est basée sur l'histoire de l'Évangile lorsque Jésus-Christ a décidé de révéler son essence aux disciples. Du ciel, les apôtres ont entendu la voix de Dieu que Christ est son vrai Fils.
Après cela, Jésus est descendu de la montagne avec les apôtres, et le malheureux père s'est tourné vers lui avec une demande de guérir son fils du diable qui s'était installé en lui.
Raphaël a dépeint Jésus planant avant tout, qui est un symbole de sa divinité. Un peu plus bas, au milieu de la toile - les apôtres attendent le Christ, et les gens se sont rassemblés en bas, attendant un miracle de guérison. La partie supérieure claire et aérée de l'image a été peinte par Raphaël, et la partie inférieure est plus sombre par une autre personne. Ici, vous pouvez voir la main du maître, qui a écrit d'une manière complètement différente.
3
Madone Sixtine (1512)
Rafael a peint plusieurs fois l'image de Marie et du Christ, mais cette œuvre, destinée à l'autel de la chapelle de Sixte II, est devenue un véritable chef-d'œuvre. L'image de Madonna Santi a été écrite par son épouse Margarita (Fornarina). Un beau visage inspiré reflète la tristesse universelle et la douleur d'une mère anticipant le sacrifice de son fils et sa mort pour le salut de toute l'humanité. En haut de l'image, entourée d'anges éthérés, Marie marche, la tenant doucement dans ses bras - l'enfant Jésus.
L'enfant est représenté en pleine santé, avec des cheveux légèrement ébouriffés. Son apparence angélique contraste avec ses yeux intelligents, comme s'il savait déjà tout de son destin. Sixte II et la grande martyre Barbara s'inclinèrent aux pieds de Marie. Ci-dessous, au bord de la toile, comme s'ils regardaient par la fenêtre, deux anges espiègles regardent sans soucis. Ils n'interviennent pas dans ce qui se passe, car ils savent à l'avance ce qui attend Marie et son enfant.
4
Stanzi (1508-1517)
fresque "Les vertus et la loi."
La peinture (fresques) des bâtiments du palais du Vatican, réalisée par le maître avec ses élèves, s'appelle Stanza della Senyatura (la soi-disant salle de signature). Les murs de cette salle sont décorés de fresques «Ecole d'Athènes», «Dispute», «Justice» et «Parnassus». L'une des plus célèbres sont les fresques "Ecole d'Athènes" et "Dispute". Vous allez maintenant en apprendre davantage à leur sujet.
5
École d'Athènes (1508)
Ecole athénienne.
Rafael Santi était un peintre très célèbre parmi ses contemporains, et en 1508, à la demande du pape Jules II, se rendit à Rome pour peindre les principaux locaux du Vatican. L'une des fresques de Stanzadel Senyatur est une fresque représentant la philosophie. Elle s'appelle "l'École d'Athènes" et représente les principaux penseurs depuis la Grèce antique. Sur les marches ascendantes de l'école athénienne, sous les immenses arches du centre, Platon et Aristote sont représentés. Platon pointe vers le ciel et Aristote vers la terre, reliant ensemble l'espace céleste et terrestre.
Socrate s'entretient avec Alexandre le Grand, Pythagore en bas à gauche, dans le cercle des étudiants, dévoile le théorème. Santi a également dépeint le grand Michel-Ange contemporain à l'image d'Héraclite. Euclide dessine un dessin de boussole.
Raphael a peint plus de 50 figures dans une fresque. Les marches du bâtiment représenté s'élèvent, identifiant les périodes de développement de la philosophie et des diverses sciences.
6
La fresque "Disputation" (1509-1510)
Au centre de la composition se trouve la Sainte Trinité. Dieu le Père, Jésus-Christ et le Saint-Esprit sous la forme d'une colombe. À côté de Christ se trouvent sa mère Marie et Jean-Baptiste, puis sur le nuage saints Pierre, Paul et d'autres personnages de l'Évangile sont assis. Sous les fresques, des érudits, des philosophes et des pontifes de l'église mènent un débat théologique.
7
Fresque "Parnasse" (1511)
Au début, cette fresque s'appelait «Poésie», un peu plus tard elle est devenue «Parnasse», elle se situe entre la fresque «École athénienne» et «Disputation». La poésie était très appréciée pendant la Haute Renaissance et était considérée comme un art divin. Sur une colline au centre de la fresque, Apollon joue un instrument de musique moderne - lyre da braccio, qui n'était pas encore dans la Grèce antique. Par cela, Raphaël a transmis la continuité des cultures. Autour d'Apollon, muses et poètes Homère et Michel-Ange, que Santi attribue également aux grands poètes.
8
Les fiançailles de la Vierge Marie (1504)
Les Fiançailles de la Vierge Marie est l'œuvre la plus vénérée de l'artiste. Il s'agit d'une transition logique de la manière de peindre de l'école du Pérugin à une manière qui dépassera les compétences de Raphaël et deviendra un jalon dans l'ère de la Grande Renaissance.
Raphael s'est inspiré des fresques de son professeur Perugino. En signant ce tableau, Santi, déjà en vrai maître, s'est déclaré en toute confiance au monde entier.
Les personnages principaux de l'image sont la Vierge Marie et le fiancé Joseph, qui met une alliance à son doigt. Un couple est entouré de témoins de ce qui se passe. Le bâton fleuri dans la main de Joseph signifie que Marie est choisie par Dieu. Les bâtons des autres prétendants, qui se tiennent à l'écart, restent les mêmes, et ils sont brisés de désespoir.
C'est l'une des peintures les plus célèbres de Raphaël. La palette de couleurs est très calme, des tons bruns et jaunes y règnent. La robe rouge vif de Marie signifie le sang du Christ et le manteau bleu - son intégrité.
9
Le triomphe de Galatea (1512)
Le Triomphe de Galatée est une peinture murale peinte par Raphaël pour la salle de banquet du banquier de Sienne Agostino Chigi. Elle dépeint la nymphe de calme de la surface de l'eau de Galatea, qui vole à travers les vagues, debout sur une coquille tirée par des dauphins. Elle est entourée de tritons, de mollusques et d'autres fabuleux personnages marins. Des amours tournoyaient au-dessus d'eux, visant dans toutes les directions avec leurs flèches. La fresque exquise est pleine de joie et de plaisir.
10
Le beau jardinier (1507)
Le "Beau jardinier" de Raphaël représente la Vierge Marie et deux bébés - son fils Jésus et Jean-Baptiste. L'adorable jeune Maria incarne la féminité, la maternité et l'amour sans limites. Elle se tourne vers Jésus, se penchant légèrement sur lui. Le petit Jésus est aussi tout absorbé par sa mère, il se presse confidentiellement contre elle, et elle le soutient par le bras et les épaules. L'idylle de la compréhension entre la mère et le bébé est accentuée par leurs vues douces. Le petit Jean s'est incliné devant Jésus. Dans ses mains est une croix, comme symbole du crucifix.
Les figures s'insèrent naturellement dans le magnifique paysage, ce qui crée une sensation de légèreté et de bonheur sans nuages.
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Les trois grâces (1504)
Vraisemblablement, "Three Graces" Santi a écrit à l'âge de 17 ans. Qu'est-ce qui a poussé Raphael à écrire un tableau aussi complexe à un si jeune âge? Santi s'est retrouvé sans mère tôt, et il a toujours été attiré par l'image pure de la Madone, comme symbole de la jeunesse et de la maternité. En créant «Trois grâces», Raphaël a combiné l'image des anciennes déesses et le visage de la Vierge immaculée, car les grâces étaient un symbole de jeunesse, d'amour et de pureté.
Les trois grâces qui ont identifié ces belles qualités exaltées s'appelaient Beauté, Amour et Innocence. Les filles sur la photo sont jeunes et belles, leurs visages brillent de pureté et de gentillesse. Ils s'accrochent doucement l'un à l'autre et chacun dans sa main tient des sphères dorées - un symbole des légendaires pommes de perfection obtenues par Héraclès. La figure centrale d'une des grâces est tournée dos au spectateur, les deux figures extrêmes font face au spectateur, mais leurs yeux sont dirigés dans des directions différentes. Cette première peinture de Raphaël est l'une des premières étapes sur la voie d'une perfection irréprochable.
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12
"Portrait du comte Baldassare Castiglione" (1515)
Le comte Baldassare - diplomate et écrivain italien, était l'ambassadeur du duc d'Urbinsky, servi à la cour du roi Louis XII de France. Il est l'auteur du livre «Dialogues sur la Cour», populaire à l'époque, qui décrit des coutumes et des conversations exquises au cours de la formation de la Cour Urbinsky. Raphaël a dépeint le comte comme un homme très digne et intelligent, comme une nature entière. Le portrait est peint dans des tons brun foncé et seule la couleur des yeux bleus attire l'attention. Ce regard confiant et calme attire par magie le spectateur.
13
"Position dans la tombe" (1507)
Parmi la noblesse italienne, il y avait une tradition, en l'honneur d'un événement tragique, de commander des peintures d'éminents artistes avec l'histoire de l'Évangile. Telle était l'image "Position dans la tombe", qui a été commandée par Atalanta Baglioni à la mémoire du fils décédé. Il y a de nombreux dessins et croquis réalisés par Raphaël avant de commencer le travail.
À la suite d'un tel travail titanesque, une image avec une composition impeccable est née. Il représente deux groupes de personnes séparés par deux lignes imaginaires qui divergent dans des directions différentes. Les femmes accompagnant la Vierge sont inclinées vers la droite, les hommes portant le corps du Christ vers la gauche. Le Christ est représenté au centre même. Son corps athlétique idéal ressemble au Christ de la sculpture «Pietta» de Michel-Ange, car à cette époque l'artiste a été très impressionné par la créativité de ce titan de la sculpture et de la peinture.
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Fornarina (1520)
L'image est peinte à l'huile sur une planche de bois. Les étudiants de l’artiste ont également participé à cette œuvre. L'image représente une jeune femme à moitié nue dans une coiffure exquise. Le modèle était l'épouse de Raphaël, qu'il appelait tendrement «Fornarina», qui est traduit de l'italien par «chignon». En fait, la belle épouse de l'artiste s'appelait Margarita Luti. Santi a écrit à plusieurs reprises sa bien-aimée; elle l'a inspiré dans des images plus élevées, comme la Madone Sixtine.
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Fresque "L'expulsion d'Eliodor" (1512)
L'intrigue de cette murale a été empruntée aux textes de l'Ancien Testament. Le commandant du roi de Syrie, Eliodor, a tenté de confisquer de l'or au Temple de Jérusalem pour les pauvres. Pour cela, Dieu l'a puni en lui envoyant un cavalier en armure d'or. La fresque était une allégorie de la défaite des troupes françaises dans la région papale sous la direction du pape Jules II, qui était connu non seulement comme un excellent commandant militaire, mais aussi comme un généreux philanthrope. Cette murale ressemble visuellement à la murale de l'école d'Athènes. Composition, il est divisé en deux parties égales - gauche et droite. Sur le côté gauche, Rafael a représenté son patron le pape Jules II et une foule de veuves et d'orphelins, et sur le côté droit - Eliodor, qui est chassé du temple par un cavalier sur un cheval blanc.
Une perspective magnifiquement construite de la composition transmet la profondeur de l'espace, au point de convergence de toutes ses lignes, un mineur est représenté, indiquant qu'il s'agit du deuxième temple de Jérusalem. La grande place de l'événement est soulignée par la riche peinture des voûtes.
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«La bataille de Saint-Georges avec le dragon» (1504-1505)
En quittant Pérouse, le jeune Raphaël se rend à Florence, où, entouré de grands peintres, il dessine de nouvelles idées et méthodes de peinture. Le tableau «La bataille de Saint-Georges avec le dragon» est peint à l'huile sur un arbre et identifie la période de transition du style de l'école ombrienne, qui était linéaire, au style de l'école florentine. Santi a été choqué par les œuvres de Léonard et Michel-Ange, leur réalisme et leur signification profonde. L'histoire biblique sur le thème de Saint-Georges le Victorieux était très populaire, et Raphaël ne pouvait pas manquer l'occasion de peindre un tableau sur ce sujet. Cheval Blanc George piétine les sabots du dragon et le saint le perce avec sa lance.
Saint-Georges est représenté en armure médiévale et ressemble plus à un chevalier. Le dragon est représenté par un monstre de conte de fées impensable, combinant des parties de divers oiseaux et animaux. L'image est extrêmement réaliste, le paysage contre lequel la bataille se déroule est soigneusement écrit, mais il n'obstrue pas le premier plan. Sa gamme brune-olive sourde souligne parfaitement la blancheur du cheval et l'éclat de l'armure du cavalier.
17
"Madone du Grand" (1505)
Il y a un article très intéressant sur les plus belles Madones de Santi sur le site TopCafe.su.
"La Vierge du Grand" dépeint l'histoire de l'Évangile la plus populaire - la Vierge à l'enfant. Il a été écrit sous la grande influence des œuvres de Léonard de Vinci. Cela est particulièrement visible lorsque l'on compare cette image avec des œuvres précédentes de Raphaël. Il est réalisé dans la technique du sphumato, qui adoucit les contours des figures, transfère l'air et l'espace. Des études de restaurateurs ont montré qu'avant la Madone, une fenêtre avec un paysage était représentée, comme dans certaines œuvres de Leonardo. Mais par la suite, la fenêtre a été peinte et l'arrière-plan de l'image est devenu complètement sombre. L'origine de ce contexte - l'auteur lui-même ou les restaurations ultérieures - est inconnue.
Maria est vêtue d'une robe rouge à bordure noire, classique du XVIe siècle, avec un voile bleu jeté sur la tête. Ces couleurs sont traditionnelles - le rouge signifie le symbole du sang du Christ et le bleu signifie la pureté de la Vierge. Le visage de Maria est triste et calme à la fois. Dans ses mains, elle tient doucement l'enfant Jésus, qui ressemble à un enfant ordinaire, joufflu et fort. Par la suite, cette image utilisée par Rafael dans ses autres tableaux représentant la Vierge à l'enfant.
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"Madonna dans le fauteuil" (1515)
«Madonna in the Chair» est l'une des plus belles peintures de la Renaissance, représentant la Vierge à l'enfant. Le modèle de la peinture de Raphaël a de nouveau été servi par son modèle bien-aimé, sa petite amie et son épouse Margarita. Cette œuvre reflète la taille et la maturité de l'artiste.
La forme ronde de l'image adoucit l'image, la rend confortable et chaleureuse. L'espace entier est entièrement rempli de trois personnages - Marie, l'enfant Jésus et l'enfant Jean-Baptiste. L'enfant Jésus occupe le devant de la scène, confortablement assis dans les bras de sa mère. Marie tient son fils contre elle, tandis qu'en même temps, Jean-Baptiste regarde le Christ avec supplication. Les couleurs vives dominées par le bleu, le rouge juteux, l'émeraude et l'ocre doré sont incroyablement belles sur un fond sombre. Et malgré le fait que Mary ressemble à une femme terrestre ordinaire étreignant son enfant, ses vêtements élégants, sa beauté sublime spirituelle soulignent le statut élevé de la Madone.
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Portrait du pape Jules II (1512)
Il y a deux portraits similaires du pape Jules II, dont l'un est l'œuvre originale de Santi, et l'autre est une copie du portrait, réalisée par les disciples de Raphaël. Les contemporains ont affirmé que le pape dans le portrait avait l'air vivant.Le manteau rouge du pape semble très contrasté sur un fond vert clair.
Le visage de Papa est ridé et encadré par une barbe grise, ses yeux sont pensifs et pénétrants, mais en général, la figure de Jules II est toujours pleine de force et d'énergie. Cet homme a mené des campagnes militaires actives au cours de sa vie, mais en même temps, il était un philanthrope incroyable qui a soutenu le travail de Léonard, Michel-Ange et Raphaël. Un an après la peinture du portrait, le pape Jules II mourut, mais resta à jamais dans la peinture de Raphaël. Un pape unique, mécène de l'art de la Haute Renaissance.
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Portrait d'un jeune homme (1513-1514)
Vraisemblablement, c'est l'autoportrait de Raphaël, car le visage du jeune homme est très similaire au seul autoportrait confirmé de l'artiste. Un très beau jeune homme est assis à mi-chemin du spectateur. Ses longs cheveux bruns s'affalent nonchalamment sur ses épaules sous un béret célèbre. Un regard confiant, la pose décontractée d'un jeune homme suggère qu'il connaît sa propre valeur.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont volé cette photo du domaine des princes Czartoryski (Pologne) et l'ont cachée dans un lieu inconnu. Elle a longtemps été considérée comme perdue. Ce n'est que de nombreuses années plus tard, le gouvernement polonais a confirmé que la peinture est en sécurité dans une collection privée.
Épilogue
L'œuvre de Raphael Santi est un patrimoine mondial de l'humanité. Cet ingénieux créateur de la Grande Renaissance nous a donné, à ses descendants, de beaux et uniques exemples de peinture. Il a été vénéré par ses contemporains qui, après la mort de l’artiste, ont écrit sur sa pierre tombale que, de son vivant, la nature avait peur d’être vaincue et de mourir après sa mort.
C'était une liste des peintures les plus célèbres de Rafael Santi selon most-beauty.ru. Nous continuerons à vous ravir avec notre vision des meilleures œuvres de grands maîtres. Nous n'attendons que des critiques objectives de votre part, ainsi que des souhaits et vos pensées concernant le travail de Santi et d'autres artistes.